Ça m’était déjà arrivé plusieurs fois après avoir ajouté mon env virtuel et ma branch git dans mon prompt : soudainement il se met à faire n’importe quoi. Des mixes de caratères, des sauts de ligne qui se font pas, la fusion de la ligne de commande sur elle-même.
C’est pas moi, j’ai rien fais !
Vous avez un repo local et un remote. Une branche a été créé sur le remote, et vous voulez la récupérer en local.
Si vous avez commité votre clé privée dans un repo, il existe un moyen de la dégommer de l’historique.
Use case typique : on a merdé les derniers commits, et on veut oublier tout ce qu’on a fait et retourner à l’état d’il y a x commits précédents.
Si vous utilisez msysgit, il n’y a pas d’outil pratique préinstallé pour gérer ce qui suit un git mergetool. Le plus simple à configurer est kdiff3.
Trouver une bonne formation, c’est pas évident. Donc je me dis qu’il faudrait que j’ai une page sur le site avec un listing de bonnes adresses. Le truc, c’est que je ne peux pas vraiment le faire à partir d’adresses que je connais, car mes clients me grilleraient dans la seconde.
Vous êtes dans une situation où vous ne pouvez pas utiliser uniquement un clé pour vous authentifier, et il faut taper votre putain de mot de passe à chaque push.
Le Mac wifi est annoncé comme “Internet gratuit Illimité”, ce qui en langage commercial ignorant signifie une partie du Web censurée et les ports de emails ouverts si vous nous achetez un Maxi best of.
On ne peut pas commiter les dossiers vides avec git, si il n’y a pas de fichier dedans, git ignorera le dossier. Parfois, quand on veut partager une arborescence très précise, c’est handicapant. Il s’est donc créé une convention dans la communauté : le fichier .gitkeep.
