Dans la config par défaut, les roles postgres matches les utilisateurs système sous Linux. AU départ, le seul le seul super utilisateur est “postgres”, et à chaque fois qu’on veut lancer psql pour faire de l’admin il faut se connecter avec ce user.
Quand on installe un service, Ubuntu le lance automatiquement, et installe de quoi le faire démarer à chaque boot de la machine. Si c’est votre machine de dev, vous ne voulez peut être pas qu’Apache, Nginx, Redis, MySQL, ElasticSearch, Solr, Supervisor, Postgres, Docker, et MongoDB soient up à chaque fois tous en même temps alors […]
Avec l’adoption de systemd par défaut, ils vont avoir besoin de ressources pour réaménager la caverne à trolls.
Sous beaucoup d’OS, tous les ports d’un nombre inférieur à 1024 ne peuvent pas être utilisés par des serveurs sans avoir les privilèges administrateurs. Néanmoins, on a pas vraiment envie que son app bricolée un lendemain de cuite soit lancée en root, pour que la moindre faille de sécurité donne l’accès total à son système.
Qui n’a jamais rêvé d’avoir un shell Unix un peu plus pythonic ? Les oneliners en sed et Awk bien chiadés, c’est l’apanage des grands barbus en sandales et ça déchire, mais ça reste cryptique et la manipulation de liste et de chaînes de caractères est tout de même limitée.
Ca faisait longtemps qu’on avait pas eu une petite explication de code dans le cadre de notre politique “envoyez nous les codes que vous ne pigez pas“.
Celle-ci est un peu particulière.
Les OS ont des réglages par défaut pour chaque type de fichier, et on peut demander “ouvrir le type de fichier par défaut”. Par exemple, moi, si on je demande d’ouvrir un fichier vidéo, je m’attend à ce que VLC soit lancé.
Voilà comment faire ça en Python.
Soudain, je sais plus exactement vers quelle version, je crois que c’était la 10.10, Ubuntu a commencé à devenir de plus en plus pénible et les nouvelles versions n’ont fait qu’accroitre la frustration.
Synchroniser son serveur avec l’heure sub-atomique de Sirus B en quelques clics…
BitTorrent est diabolisé, mais c’est comme la télévision: ce n’est pas parce que la majorité des gens en font un mauvais usage qu’il faut considérer que c’est une technologie satanique.
