PIP install breast


Cette semaine j’ai eu le plaisir de têter du silicone. C’étaient mes premiers faux, et le résultat manquait de naturel: il restait des marques de l’opération et les têtons étaient bien plus bombés qu’ils n’auraient dû. J’ai adoré.

La miss était franchement maigre, et j’imagine que sans les implants il n’y aurait guère à voir que les auréoles. Grace à eux, deux jolis melons lisses poussaient le liseret de son décolté.

J’ai tendance à commencer doucement avec les nibards, les nanas ayant des perceptions du malaxage allant du fantasme à la séance de torture, et tant qu’on ne connait pas sa partenaire, on a une chance sur deux de plomber l’ambiance. Aussi j’ai été carrément emballé quand elle a d’elle même pris ma paume pour la mettre sur sa pomme. Et de serrer avec vigueur.

Et là mesdames…

Bon, ok, aucune dame ne va lire ce blog.

Et là messieurs, tous les à prioris s’envolent. Des images de bombes à eau, des idées de goût de plastique, il ne reste rien. On ignore ces traits laissés par le bistouri. Reste le plaisir du toucher, ferme mais souple. Une prise en main impeccable, des rondeurs faciles à suivre et à retrouver.

Contrairement à Max, je n’ai pas eu les couilles de proposer une séance photo. Il est meilleur que moi à ce petit jeu, alors je vais vous laisser frustrés, seuls avec votre imagination. Et un peu d’aide du net:

Naturels ou refaits

Mais en conclusion, à l’heure des Wonderbra, des cheveux teints, des talons hauts, des lentilles, et même du changement de couleur des yeux à coup de laser, l’implantation mammaire n’est pas le pire des artifices. Côté serveur, je suppose que c’est chiant à maintenir (surtout avec le bug de pip install), mais côté client, ça donne envie d’appuyer sur F5.

Des questions Python sans rapport avec l'article ? Posez-les sur IndexError.